• Cascades

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  • Voyage de Noces en Islande 

     


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  • Ce qui était marrant en Bolivie c'est que quand on parlait de la France, les gens s'exclamaient sur la mode et nous regardaient comme si on portait le dernier chic parisien. C'est pour ça que je vous montre cette superbe photo où vous pourrez admirer ma classe naturelle à Potosi  (admirer la double polaire !) Bon allez ne vous moquez pas : j'étais à 4000mètres d'altitude et il faisait extrèmement froid (pour vous donner un exemple le matin quand on se levait l'eau des WC était gelée)


    Voilà une petite vue des toits de Potosi


    Une autre avec le superbe ciel bleu bolivien en arrière plan.



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  • Nous voici dans les mines d'argent de Potosi

    Comme vous pouvez le constater c'est d'une modernité assez limité

    Un mois avant notre venue, une des mines s'était effondrée et les autorités n'ont pas bougés du coup

    les familles elles-même sont allées chercher les mineurs emmurés.

     

    Voici l'entrée de la mine où je suis descendue (je n'étais pas super contente de devoir passer sous terre, mon petit côté claustro me retenait, mais une fois dedans ça était)

    En plein coeur d'une gallerie nous attend une idole redoutable.

    Voici el Tio le dieu des mines, il protège et punit les mineurs qui lui font des offrandes (nous aussi d'ailleurs sinon on ne peut pas rentrer dans la mine), alcool, feuilles de coca, cigarettes tissus ...

    Le dieu Tio est un symbol de virilité (comme vous pouvez le constater cette virilité est clairement exprimée entre ses cuisses), ce qui a permis au mineur qui avait accepté de nous guider de faire quelques petites blagues à mon sujet. Puis d'annoncer que si je restais il me trouverais un époux dans les trois jours.

    Sur cette vue du Cerro Rico qui a la réputation d'être une montagne mangeuse d'homme, je vais vous prouver qu'il mérite sa réputation :

    Alors que nous étions courbés dans la boue de la mine, une explosion est survenue, j'ai été projettée contre la paroie dans un bruit assourdissant, mon casque (et la lumière qui était dessus) a volé, et j'ai reçu plein de boue dans la figure. Je me suis relevée dès que j'ai put et je suis repartie en arrière où une main m'a attrapée et tirée loin du lieu de l'explosion. Je me suis retrouvée seule avec un bolivien qui m'a expliqué en quechua qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Deux membres de mon groupes qui m'avaient vus partir sont alors arrivés. Et nous avons retrouvés les autres ensuite. Il s'agissait juste d'une conduite d'air comprimé qui avait rompu. J'ai tout de même eu la peur de ma vie. En revenant certains pleuraient et moi j'étais au contraire sous le joug d'un rire nerveux. Les mineurs m'ont alors dit que j'étais plus courageuse que bien des hommes, ce qui dans ce milieu très macho (je ne vous dit même pas ce qui avait été dit avant : c'est indécent) est un compliment rare.

    En tout cas le lendemain je n'étais pas fâchée de quitter le Cerro Rico


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  • Vue du Cerro Rico à Potosi

    Il s'agit de la ville la plus haute du monde (3967 m) autant dire que la haut, on a un peu la tête qui tourne

    Un très beau couvent

    Eglise San Miguel, un bijou de l'art Baroque métissé (il faut admirer le Saint Michel en pagne dans sa petite niche)

      

    Ca c'est moi qui suis super contente avec mon super chapeau (il faisait très très froid, surtout le soir)



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  • Non ce n'est pas le parc Disney Local, mais une ancienne demeure devenue un camp d'entraînement militaire.

     

    Le long de la route une Hacienda

    Isolée dans la végétation

    ...

    Les Propriétaires sont partis, mais l'hacienda ne reste pas vide


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  • Sur les toits d'un couvent Jésuite pour regarder le soleil se coucher.

    A peine le soleil disparut, le froid arrive et en quelques secondes nous enfilons par dessus nos T-shirts des polaires et des vestes auxquelles nous ajoutons des écharpes et des gants. Enfin bref une différence de température énorme.

    Toujours en haut du couvent jésuite.

    La crypte des jésuites. A l'origine les corps (séchés à la chaux) n'était pas dans des sépultures fermées, mais à l'air libre sous forme de momies. Les religieuses qui ont récupérés le couvent il y a quelques années, ont décidé de faire fermer les tombeaux des moines (il faut dire que ça ne devait pas être très esthétique). Et ça a fait pleins de d'histoires entre les deux communautés religieuses.

    Une pharmacie de Sucre.


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  • Les toits de Sucre

    Rien de tel que le toit d'une Eglise pour voir de haut.

      

    Je vous mets la légende des deux collines en

    arrière plan :


    Sica Sica était un berger de lama blanc  qui un jour rencontra une belle jeune fille Churuquella.

    Le jeune homme se mit à lui jouer de la Quena (flûte des Andes), et la jeune fille lui demanda :

    -Où as tu appris à si bien jouer ?

    - J'ai bu l'eau de la source de la rivière Inisterio, et j'en tire mon inspiration.

    Tout deux allèrent boire l'eau de cette source et ... (à la surprise générale) tombèrent amoureux.

    Un jour au cours d'une promenade, ils virent une grotte, Churuquella insista pour y entrer malgré les craintes de Sica Sica (non ce n'est pas moi qui me trompe : pour une fois dans une légende c'est le garçon qui a peur), au fond de la grotte ils trouvèrent une idole à trois faces (qui en passant terrorisa notre jeune berger).

    Churuquella lui expliqua que cela devait être : le dieu Tanga Tanga qui gardait les richesses des ancètres (il ne faut pas oublier que la région est très riche en exploitation d'argent).

    Sica Sica voulait quitter la grotte quand un vacarme énorme se fit entendre : le sol trembla et une vive lumière pénetra la grotte et dévoila les trésors de la région conservés par les ancêtres.

    Une voix se fit alors entendre : " Tout deux resterez avec moi et deviendrez des collines. Sica Sica homme prévoyant se postera à gauche pour prévenir les dangers futurs, et Churuquella tu formeras une colline à sa droite pour alimenter en eau les terres de la région"

    Ainsi sont nées les Colinnes Sica Sica et Churuquella de Sucre.

    Voilà j'espère que vous avez aimé mon histoire !


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  • Eglise Baroque (et fils électriques : comme dit précedemment ils font partie du paysage)

    Vue de Sucre

    Etale de légumes

    Tissu artisanal traditionnel


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  • Mairie de Sucre.

    Tour baroque

    Casa de la libertad : c'est ici que l'indépendance de la Bolivie a été signée en 1825.

    J'en profite pour faire un aparte sur le drapeau bolivien qui est rouge (pour le sang des combattants), jaune (pour les richesses minérales) et vert (pour la puissance militaire)


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